Introduction
De nos jours, les cartes mémoires les plus utilisées sont : carte CF « Compact Flash », cartes SD « Secure Digital » et notamment les cartes micro SD, largement utilisées dans appareils mobiles : tablettes et smartphones. Les cartes CF sont très sollicitées par les photographes professionnels en raison de la vitesse de lecture/écriture, permettant ainsi des prises de vues très rapidement. Tandis que les carte SD et µSD sont très utilisées par le grand public pour des raisons de prix et de capacité.
Différentes pannes
La haute intégration et condensation de nombre de cases mémoires élémentaires sur une unité de surface rend ces mémoire très fragiles et très intolérante aux changements des conditions de fonctionnement. Ainsi, un petit changement de la tension d’alimentation peut rendre une carte mémoire inopérante. De plus, un stockage prolongé sur une carte mémoire n’est absolument pas conseillé en raison du phénomène naturel de la fuite d’électron ou fuite de charge, car la matière du semi-conducteur recevant cette charge n’est pas idéale. Ce que l’utilisateur ignore complètement en pensant à tort que ses données sont bien conservées dans la carte mémoire. En conséquence intrinsèquement liée à la nature de la carte mémoire, deux phénomènes peuvent être rencontrés :
- La disparition ou la corruption de la table de partition, ou le secteur de « Boot » de la carte. Cette panne est connue sous le nom d’une panne logique ou panne logicielle par rapport à la structure et l’organisation logique des données dans la carte mémoire. Même, cette panne peut être traitée par des moyens logiciels uniquement et directement.
- Le blocage de la carte et parfois l’ordinateur hôte. Aucun moyen ne permet de détecter la carte, même sur le plan physique en faisant abstraction de la structure de ses données. Cette panne est connue sous le nom d’une panne physique ou panne matérielle.
Premiers secours
Il est très important de pouvoir faire la différence entre les deux cas. Car dans le premier, l’utilisateur peut retrouver ses données par lui-même en utilisant des logiciels gratuits. Alors que dans le second cas, il est inutile de tenter une intervention quelle conque, et le besoin de l’intervention d’un professionnel devient indispensable.
Afin d’identifier une panne logicielle, il fait être à l’aise dans l’utilisation du gestionnaire des supports de stockage dans l’ordinateur. Selon le système d’exploitation utilisé (Windwos, Mac ou Linux), le gestionnaire des disques est différent mais le principe reste le même. Il est impératif d’avoir des notions sur : support physique, volume logique, partition, système des fichiers, etc. Le test ultime de la panne logicielle est de pouvoir détecter le support physique dans le gestionnaire des disques. Si c’est le cas, il ne reste qu’à vous procurer un logicielle de récupération de données et lancer une analyses. Le résultat de l’analyse dépend très fortement de la performance du logiciel de récupération de données utilisé.
Afin de vous aider à trouver une solution à la perte de vos données, n’hésitez pas à contacter un spécialiste de la carte mémoire Data Flash Back ou bien Diskeom pour tout autre souci sur un support de stockage quelconque.
