Si vous avez envie de découvrir le Maroc dans ses émotions et plaisirs, il faut plus de temps et de ce fait un logement approprié à votre nature. Loc-center vous propose, dans les quartiers les plus réputés, la location d’un appartement à Marrakech, renommée meilleure ville touristique dans toutes ses beautés. Parmi ces beautés, il y a des jardins botaniques qui séduisent toujours le plus grand nombre d’amoureux.

Jardins botaniques du Marrakech
Il y a environ quatre principales attractions touristiques en botanique au Marrakech
Jardin Majorelle : situé dans une artère, à l’angle du Boulevard de Safi et de l’Avenue Yacoub El Mansour, le Jardin de Majorelle a été créé dans les années 1920 par le peintre Jacques Majorelle, qui lui a laissé son nom. Botaniste amateur mais illuminé, il établit son atelier, totalement teinté de bleu-mauve devenu depuis le bleu Majorelle afin d’y peindre ses tableaux, dans cette propriété qu’il entoura d’essences différentes, communes ou exotiques, mêlant les arbres et plantes originaires du Maroc.
La Menara : la Ménara, située hors de Marrakech est l’un des symboles frappants de la ville rouge. Le site est composé d’un grand bassin central, ravitaillé par les eaux des montagnes voisines et servant à arroser une vaste oliveraie, dont une grande partie des spécimens est antique. Il est aussi entièrement entouré d’une muraille en pisé de presque 4 km de longueur.
Jardin bio-aromatique de l’Ourika : situé à quelques 35 kilomètres de Marrakech, les jardins bio-aromatiques sont sur un hectare emprunté à la vallée de l’Ourika. On y cultive une cinquantaine de végétaux locaux et aromatiques aussi bien pour la cuisine que pour la beauté et la production d’huiles essentielles. C’est un lieu idéal de promenade bucolique, et propose également des ateliers visant à utiliser au mieux les plantes et leurs qualités.
Le Jardin du Safran : représenté par la ferme artisanale safranière propose à ses visiteurs de tout leur faire connaître sur ce crocus, fleur mauve précieuse originaire d’Asie et très prisée pour ses stigmates, qui une fois séchés deviennent le safran. De la reproduction, à la culture, puis la récolte, tout le labeur patient que l’épice requière est épluché et présenté en une exposition incessante. Pendant la période de cueillette, la visite des différents trajets de culture est enrichie d’éclaircissements.