Pour éviter d’être dans l’obligation d’acheter à chaque instant une nouvelle voiture, les constructeurs de l’automobile ont offert une porte de sortie aux automobilistes en les encourageant à réparer les voitures en panne. Cet encouragement ne se manifeste pas par l’attribution des ingénieurs de fabrication à la disposition des automobilistes, mais, il consiste plutôt à la fabrication des éléments essentiels pouvant remettre l’automobile en marche en cas d’un éventuel problème. Ainsi, les mécaniciens qui sont des personnes ayant fait des études théoriques et pratiques sur le fonctionnement d’un moteur exerceront une fonction secondaire visant à remettre ces véhicules en circulation. Pour cela, il faudrait d’abord visiter la voiture pour savoir quel est son problème. C’est le résultat de cette visite qui pourra indiquer la panne de la voiture ainsi que la solution qui lui sera apportée. Pour savoir tout ceci, il faut être un mécanicien. La plupart des pannes qu’une voiture peut rencontrer demande le changement d’un élément qui serait endommagé. Pour cela, deux problèmes subsistent. Le premier sera résolu par le mécanicien et c’est celui qui consiste à repérer l’élément endommagé. Le second problème qui peut être plus crucial est celui de retrouver sur le marché la pièce auto au Québec qui va remplacer celle qui est endommagée. Apparemment simple, il suffit de se lancer dans cette recherche pour comprendre la difficulté de cette entreprise. Cette recherche peut être difficile ou facile selon la nature de l’outil recherché. Par exemple, les éléments élémentaires comme la bougie de la voiture ou encore la batterie peuvent facilement être retrouvés dans les magasins de vente des outils d’occasions et neufs. Par contre, certains éléments comme les cylindres, les vilebrequins, les segments et les cardans sont difficiles à retrouver. Leur recherche demande une patiente énorme. Ce qui rend difficile l’obtention de la pièce auto au Québec est la compatibilité. Certaines pièces sont incompatibles avec d’autres. Ainsi, lorsqu’une personne se retrouve avec une voiture dont la marque n’est pas fréquemment utilisée dans la région, en cas de panne, elle sera en difficulté d’obtenir ce qu’elle recherche. Pour être en mesure de faire face à cette situation, la personne sera même obligée de poursuivre ses recherches dans des contrées éloignées. Le plus souvent, ce sont les véhicules importés qui se retrouvent dans cette difficulté. Afin d’éviter des déplacements en vain, la technologie permet aujourd’hui d’avoir tous les renseignements nécessaires sur une chose avant de s’y rendre. Par exemple, la recherche de la pièce auto au Québec peut pousser son auteur à insérer le schéma de l’outil recherché dans un logiciel de recherche afin de l’envoyer par un document joint aux différents destinataires. Ceux-ci l’informeront sur la possession effective ou non de cet élément. Parfois, lorsqu’à travers cette méthode avancée de recherche la personne réussit à trouver l’outil recherché, elle n’aura plus besoin de faire un voyage pour cela. Le paiement de l’objet retrouvé se fait par carte bancaire via l’internet et la livraison se fait à domicile. La meilleure manière de faire la recherche est de commencer par la maison de fabrication. Celle-ci est la mieux indiquée pour avoir à sa disposition les éléments essentiels de la voiture. Même si la société n’en dispose pas de la pièce auto au Québec au moment où la demande lui est parvenu, elle pourra indiquer à la personne ayant fait la demande les magasins qui ont reçu les livraisons relativement à l’outil recherché. D’ailleurs, même si la personne en pourchassant cette recherche n’arrive toujours pas à obtenir cet élément, la compagnie dispose la capacité d’en fabriquer un autre outil identique pour son client. Après tout, c’est elle qui avait façonnée le premier outil, rien ne l’empêche d’en faire un second suivant le modèle du premier pour satisfaire tout juste son client et encourager la vente de ses marques.