Si chacun sait ce qu’est l’astronomie, la religion et l’astronomie, bien peu de gens savent que ces trois disciplines se combinaient, sous le nom de sabéisme, à l’époque de l’Antiquité. Pour mieux dire, le sabéisme est une discipline très ancienne qui consistait, pour nos ancêtres de l’Antiquité, à observer le ciel et à retranscrire, dans leurs livres profanes ou sacrés, le mouvement des astres sous ses différentes formes. Et comme ils s’identifiaient eux-mêmes à ces astres, leur histoire, ainsi que celle de leurs ancêtres, avaient une dimension à la fois céleste et terrestre.
C’est cela que raconte, par le menu, l’ouvrage en onze volumes intitulé
« Quand les dieux et les hommes étaient des planètes, des étoiles ou des constellations »
et que l’on peut acheter, pour un prix très attractif compte tenu des 3’500 pages A4 dont il se compose,
sous le site http://lesdieux.comeze.com
On y lira également, entre autres considérations :
a) comment interpréter le Déluge de Noé ou les autres déluges figurant dans les chroniques de nos ancêtres ;
b) comment interpréter la théorie des quatre âges (ou soleils) du monde telle qu’on peut la lire dans les chroniques des anciens Aztèques ou Mayas ;
c) qui furent ces fameux Atlantes, ou Elohim, ou Anunaki que certains savants du mouvement New Age ont rendus responsables de ces pôles de civilisation que furent, dans le monde antique, l’Egypte et le pays sumérien ;
d) à quoi servirent les grandes pyramides du plateau de Gizeh en Egypte, ainsi que les ziggourats de l’ancienne Mésopotamie, dans l’esprit de leur bâtisseurs;
e) en quoi consiste la double dimension (terrestre et céleste) du récit de l’Exode des Hébreux/Ibri vers la Terre Promise, et, au-delà, du récit contenu dans les Ancien et Nouveau Testaments de la Bible;
Et parce que la religion et l’histoire se confondaient, dans l’esprit de nos ancêtres, le lecteur du présent ouvrage découvrira alors que la naissance des cités-Etats, à l’époque de l’Antiquité, résulta le plus souvent d’une confrontation entre des tribus nomades cherchant à s’établir d’une part, et des peuples qui s’étaient déjà sédentarisés de l’autre, confrontation que les chroniqueurs de l’époque transposèrent également au ciel sous la forme d’une guerre entre les planètes d’un côté, et tel ou tel type de figure astrale de l’autre.
Ce qui ne veut pas dire que les acteurs animant les récits des textes profanes ou sacrés de l’Antiquité étaient uniquement des astres. Mais le fait est que la religion de cette époque impliquait, en son expression sabéenne, que les hommes (en allemand : menschen) animant ces récits s’identifiaient eux-mêmes à tel ou tel astre.
Bonne lecture à tous
Claude Gétaz