Toutes les nuits, nous passons approximativement une heure et demie dans nos rêves, même si nous ne nous en souvenons pas, ou pas toujours. Beaux rêves ou cauchemars horribles, ils suscitent de la curiosité et de temps en temps,  ils troublent. Et depuis la nuit des temps, l’humanité a voulu savoir pourquoi il fait des rêves et particulièrement comprendre l’interprétation de ces rêves. Dans le temps, on considérait les rêves comme vision du futur, ou encore comme conseil pour curer les les patients.

Au cours du XVIIIe siècle, des penseurs en Allemagne devinent dans les songes un genre de langage primitif et naturel de la pensée. Avec la sortie du livre: »Le rêve et son interprétation » écrit par Sigmund Freud, les songes nocturnes deviennent de la psychanalyse et se trouvent la possibilité considérable de nous révéler à nous-mêmes. Le songe est un chemin pour accéder au subconscient où sont entreposés les représentations, impressions, désirs et émotions réprouvés depuis l’enfance par notre conscience. Nonobstant un relâche de cette conscience durant le sommeil, les rêves peuvent de temps en temps être confus par une auto-censure qui n’est jamais pleinement levée.

Le rêve est à peu près comme une devinette: il faut saisir le sens caché de chaque représentation, figure, idées, termes, émotions… Il faut envisager ces rêveries comme nos complices, même lorsqu’il s’agit de cauchemars, car ceux-là sont l’avertisseur qu’une chose indéterminée en nous cherche à finir une antique peine, une gêne ou un antagonisme interne. Si l’on se réfère à la psychanalyse, tout en étant gardien de notre endormissement, le songe est encore une valve de sécurité car il permet de délester nos tensions internes et permet d’esquiver les désordres tels que lassitude, échecs, comportement belliqueux, etc… Selon les neurologues, les rêves seraient capitaux dans le développement de la mémoire. N’hésitez pas à demander une interprétation des rêves à un spécialiste!