Jok Somphet, à l’angle de Th Ratchaphakhinai et de Th Si Phum, face aux douves nord, est très connu pour son jôk homonyme. Les sympathiques propriétaires du lieu préparent également un très honorable khâo sawy kài et autres plats de nouilles – bamii, kuay tiâw – avec du poulet, du boeuf ou du porc.
Lim Han Nguan (pas d’enseigne en anglais), à l’est de la rivière dans Th Charoen Muang près de la Bangkok Bank (à mi-chemin entre la rivière et la gare ferroviaire), est célèbre pour ses 30 sortes de khâo tôm (soupes de riz), notamment la khâo tôm kuay – soupe de riz bouilli nature avec des plats d’accompagnement d’oeufs, de porc salé, etc. Autres atouts du lieu, son décor de magasin chinois des années 50, et le fait qu’il est ouvert jusqu’à 3h du matin.
Pour mettre les petits plats (chinois) dans les grands, rendez-vous au China Palace du Westin Chiang mai, où l’on vous propose une excellente cuisine cantonnaise à des prix légèrement supérieurs.
Cuisine indienne, musulmane et israélienne. Entre Th Chang Khlan et Th Charoen Prathet et non loin de la mosquée de Chiang Mai (Ban Haw), Charoen Prathet Soi 1 abonde en petits restaurants et marchands de rue qui proposent des curries à la musulmane et des khâo sàwy bon marché. Le Sophia, en face du soi du Khao Sawy Islam et du Khao Soi Fuang Fah (voir l’entrée Nouilles) mijote de bons curries et des khâo môk kài, version musulmano-thaïlandaise du poulet biryani. Le Mataam Islam, dans ce soi, propose une cuisine similaire. Spécialité de Chiang Mai, le néua ôp hàwm (boeuf séché parfumé à la yuannaise) est vendu dans cette ruelle. Un étal de rôtis s’installe aussi dans ce soi avec ses délicieux martabak au poulet (màtàbà kài) et rôtis.