On voit de plus en plus émerger une multiplicité de fables concernant la cigarette électronique. Ce qui provient assurément de l’originalité de ce produit.
Au milieu de toutes ces fausses idées nous en avons sélectionné une dizaine que nous vous présentons dans les paragraphes ci dessous.

Idée Reçue 1 : la clope électronique correspond à un risque à l’endroit des enfants.

Cette fable émane de la vision selon laquelle les enfants seraient d’instinct portés sur les gimmicks électroniques et , qu’il leur est de plus, facilement possible de s’offrir des cigarettes sur internet.
Beaucoup d’enquêtes ont démontré que ces assertions étaient entièrement erronées.
En effet, même si la cigarette électrique est acquérable à satiété online, il reste toujours tout aussi vrai que pour en acheter on doit posséder une carte bancaire.
En surcroît, le montant d’achat habituel de la cigarette électrique (même s’il est rémunérateur à long terme), est nonobstant relativement inabordable pour l’adolescent moyen.
Au surplus les ados ont tendance à regarder la cigarette électronique comme un stratagème que les vieux utilisaient afin d’arrêter de fumer. Ce qui à l’évidence est en totale contradiction avec les motivations pressant les ados à fumer. En effet, D’habitude, les deux paramètres les plus importants qui les poussent à fumer sont d’une part l’envie de l’insubordination et la stimulation du danger.
Concrètement, moult études ont signifié que la plupart des adeptes de l’eclope se ont entre 40 et 50 ans.

Idée Reçue 2 : Les clopes électroniques sont tout cancérogènes et maléfiques à l’égard de la santé que les cigarettes habituelles.

Au début du mois de Août 2013, une opaque étude du périodique 60 millions de consommateurs, allant à contrepied de la quasi-totalité des études analogiques, a été à l’origine d’un colossal buzz, en énonçant  » la cigarette électronique est susceptible de dégager des composés qui en masse significative sont possiblement cancérigènes ».
Sur le plan méthodologique, cette affirmation a soulevé plusieurs controverses.
En effet elle reste très peu rigoureuse spécialement au niveau du collectage et de la quantification des données.
De plus les particules ciblées (l’aqualine, l’acétaldéhyde et l’aldéhyde formique) sont d’autre part présentes dans la cigarette normale à des taux beaucoup plus nuisibles.
Et d’autre part l’auteur de l’étude en question, Thomas Laurenceau a été astreint de convenir que « Oui, oui, mille fois oui, il vaut mieux vapoter que fumer une cigarette ».

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