Les créances sont un facteur qui conduit à la faillite d’une entreprise. Elles sont aussi un facteur qui conduit à son essor. En effet, la dette n’est pas un problème, mais une réponse à un problème. Ce contexte s’applique uniquement lorsqu’elle est utilisée très bien. L’analyse d’une solution d’endettement se manifeste comme étant la procédure d’évaluation des performances de l’entreprise. Chaque année, la comptabilité de l’entreprise est effectuée pour savoir si la société s’est enrichie ou si elle est appauvrie. Le résultat de ce calcul doit tenir compte des effets que produit ce phénomène au sein de la société. La dette doit être inférieure au capital social. La libération de faillite est analysée par rapport au niveau du résultat d’exploitation. L’on compare alors les moyens sectoriels de chaque secteur d’activité avant de faire le bilan de ce calcul. Le comptable doit évaluer le chiffre d’affaires de l’entreprise. Après, il va faire un calcul sur les produits de vente. Le taux obtenu sera ajouté au chiffre d’affaires et une soustraction du montant de la dette sera alors effectuée. Le résultat définitif va démontrer si le recours à la dette a été favorable ou non à la société. Une analyse sera aussi faite sur la valeur ajoutée.
La libération de faillite ne perturbera pas ce calcul. En fin de compte, la répartition de tous ces biens va permettre de rembourser les prêts à la fin de l’exploitation. Lorsque les dettes sont remboursées, la société peut alors dire que ce recours lui est rentable. En effet, c’est pour cette rentabilité que les dettes sont souvent accordées par les institutions financières. Chaque créancier attend en retour un profit dans son intervention au sein de la société. Parmi ces moyens, il y a donc la recherche du financement extérieur qui est la dette. À la fin de l’exploitation du produit de la dette, la société doit rapporter assez d’argent pour les propriétaires, les actionnaires, les travailleurs et le créancier. Dans cette condition, l’on peut dire que le recours à cette solution est favorable. Mais lorsque la société épuise ses dettes sans avoir des profits, l’on remet en cause l’utilité de cette opération.
Ainsi, la libération de faillite peut être un point d’appui incontournable pour la solution de l’entreprise. Lorsque l’entreprise est en difficulté, la solution est la dette. Il revient alors à la société de gérer au mieux ses dettes et de les rembourser. Cette solution est à privilégier pour les bons gérants. Car la faute de gestion entraînerait la faillite de la société. Lorsque les biens empruntés sont incorporés dans les capitaux de l’entreprise, un calcul doit être fait à chaque instant pour déterminer la valeur réelle de la société. Ce calcul éviterait à la société d’avoir un sentiment illusoire de richesse alors que les biens ne lui appartiennent pas. Parmi toutes les solutions, la dette reste aussi efficace.
L’analyse d’une libération de faillite a donc pour but de réaliser trois travaux sur la société. Tout d’abord, son intervention montre que la société est en difficulté financière. Le premier travail que cette opération apporte à l’entreprise est la disponibilité des fonds. Une telle somme ne sera acquise qu’après de longues années de travail. Lorsque ce premier travail est accompli, le second consistera à imposer une forme de conduite à la société. Dorénavant, la liberté observée dans la gestion ne sera plus la même. Les créanciers auront un droit de regard sur la forme de gestion de l’entreprise. Certaines conditions vont être imposées aux gérants. Toutefois, ces différentes conditions ne sont pas des dangers pour la société. Ce sont au contraire des modalités de gestion et des propositions des méthodes qui vont allier l’efficacité et la transparence. En troisième lieu, c’est la codirection qui sera appliquée pour la gestion de la société.