Il y a des eaux à drainer à tous les endroits. Ce serait d’ailleurs très étrange que l’on puisse voir que dans une ville ou dans un pays, il n’y a pas quelques eaux qui sont assez gênantes parce qu’elles sont la cause d’inondations, et qu’il faudrait évidemment les faire partir ou les irriguer ailleurs. Ce n’est pas simplement par plaisir que cela est fait, mais c’est pour des raisons multiples. Car, on fait du drainage pour éviter que des eaux n’envahissent un lieu, on en fait aussi pour éviter que les récoltes par exemple ne soient détruites par les eaux de pluie ou par les eaux d’un fleuve. Mais, ce qu’il faut constater est que le drainage se fait dans tous les pays, et ceci sans exception. Les activités de drain français tournent autour de l’évacuation des eaux de ruissellement issues de la fonte des glaces, des eaux issues des ménages, et même des eaux de petits fleuves qui coulent dans les campagnes.
En effet, de manière tout à fait ordinaire, on réalise que durant les périodes d’hiver, les chutes de neige sont souvent si importantes que la glace s’accumule partout sur les toits, sur les arbres. Lorsque vient la sécheresse, les glaces fondent et se liquéfient, et cette eau est en trop dans les rues, dans les champs, etc. Il y a dès lors nécessité de drainer toute cette eau pour l’évacuer. Lorsque les activités de drain français ont débuté, les techniciens qui avaient la lourde responsabilité de le faire ne se contentaient pas de faire des réseaux de fosses dans les champs par exemple. Ici, un engin de chantier, de préférence une pelle excavatrice creusait des fosses le long de ruisseaux ou le long de champs, afin que l’eau acculée puisse donc circuler avec facilité. Cette technique était toute simple, mais si simple parce que ce type de drainage se faisait uniquement dans les champs. On parlait dans ce cas de drainage agricole.
Ce qui revient donc à dire que, dans le domaine de l’agriculture et dans celui de la sylviculture, les drainages que l’on fait près des plantations sont très nécessaires. Ils servent à la fois à l’irrigation des plantations, mais aussi à empêcher que l’eau d’une rivière ne déborde dans un champ. Cela dit, quand on parle de drain français on associe toujours cette activité avec la main humaine. Ce qui fait dire que le drainage permet de faire circuler artificiellement l’eau. Dans certaines zones d’Amérique du Nord, réputées très favorables aux inondations, le drainage est activité déterminante. Il se fait d’ailleurs de manière très intensive, tant par les autorités gouvernementales qui veulent éviter que les agriculteurs se plaignent des avancées d’eau dans leurs plantations, que par les agriculteurs eux-mêmes qui sont prudents et prennent des dispositions pour protéger leurs récoltes.
Lorsque les activités de drainage sont réalisées au Québec, on découvre que l’évacuation artificielle des eaux peut se faire à travers des drains, à travers des fosses, ou encore par un grand réseau de petites canalisations. Chacun de ces éléments correspond en fait à un type de région particulière. Dans le drain français, on voit que les fosses sont plus utilisées quand il est question de drainer l’eau dans les plantations. Les fosses sont directement creusées au sol à l’aide d’engins de chantiers, et cette démarche est très économique, puisqu’elle ne demande pas l’installation des tuyauteries et des buses. Lorsque le drainage doit se faire sur une petite échelle, cela ne demande pas beaucoup d’efforts. Mais si l’activité doit être un énorme réseau, alors cela demande quelquefois que les agriculteurs, les chambres d’agriculture, les syndicats et les forces gouvernementales s’associent pour une meilleure collaboration et un excellent résultat.